Pratiques des fascias à Paris - Buttes Chaumont (19e)

News et liens du cabinet de thérapies des fascias à Paris 19

Quelques références et liens utiles

Le documentaire remarquable d'Arte sur les fascias :
Les alliés cachés de notre organisme - les fascias ( lien vers Arte.fr)

Les alliés cachés de notre organisme - les fascias (lien via Youtube)

Cette véritable enquête sur le tissu fascial révèle l'origine méconnue de nombreuses pathologies, dont les douleurs dorsales qu'elles soient chroniques ou non. L'approfondissement des connaissances en la matière ouvre donc de nouvelles pistes thérapeutiques (y compris dans la lutte contre le cancer). De Harvard à Padoue en passant par Mannheim et Heidelberg, ce documentaire de 52 minutes résume ce que la science sait aujourd'hui de ce tissu conjonctif vital et ce qu'elle en espère.

Tarifs de thérapie des fascias
 

Les mains du coeur (lien vers la Fnac)
Atteint d'une cécité presque totale, Christian Carini développe dès l'enfance une " écoute " sensible du monde et découvre, à l'âge de huit ans, que ses mains peuvent soulager les maux dont souffrent ses proches.
Au fil des années, il élabore une thérapie manuelle particulière, que des études de kinésithérapie et une pratique quotidienne l'aident à parfaire : la fasciapulsologie. Thérapie douce, qui nécessite l'apprentissage d'un toucher spécifique pour entrer en contact avec le corps et en capter toutes les sensations, la fasciapulsologie libère par le toucher la mémoire traumatique du corps et de l'esprit.
Les mains ne manipulent pas, elles suivent différents chemins - tissulaire, circulatoire - et retrouvent les tensions physiques et psychologiques que le corps a subies. En les dénouant, elles remontent dans les mémoires cellulaires, libèrent le patient de son traumatisme initial et réharmonisent ainsi le corps et l'esprit. Telle est l'action de cette thérapie originale dont Christian Carini est le créateur.
 

blog

Mars 2024 : Pourquoi les pratiques des fascias ( fasciapulsologie, Technique Neuro-Cutanée, fasciathérapie etc) réussissent-elles mieux sur certaines personnes que d'autres ?
Il n'existe malheureusement pas d'étude scientifique rigoureuse en France pour évaluer les résultats de nos pratiques des fascias(*). Pour autant tous les praticiens ont observé que certains de leurs clients obtiennent des résultats bien plus durables et rapides à la différence d'autres.
- Pour ma part, j'ai constaté d'une façon générale que l'âge rentre en ligne de compte : les jeunes n'ont souvent besoin que de 2 ou 3 séances pour que leurs tissus se libèrent de leurs traumatismes.
- Les personnes pratiquant le yoga, une gymnastique régulière, mais aussi et presque surtout la méditation et l'écoute de leur corps retrouvent rapidement un mieux-être et une sorte de "réconciliation" de leur corps.
- en revanche, les personnes dites cérébrales et analytiques ont souvent du mal à "réécouter" leur corps, à écouter (et je dirais même à accueillir) leurs douleurs physiques pour ensuite les lâcher afin qu'elles se dissolvent sous les mains du praticien, le plus loin possible qu'elles puissent le faire pendant les séances.
Peut-être parce que mental et le corps n'ont pas le même langage ? C'est bien possible.

Ma recommandation est d'arriver à une séance en étant prêt à accueillir les sensations corporelles aussi fines et ténues soient-elles, à ne pas focaliser sur la ou les douleurs qu'elles éprouvent ( et c'est évidemment d'autant plus difficile qu'elles peuvent être intenses), à "oublier" le temps de cette cette séance tout ce que le mental a construit pour comprendre, justifier et raconter de ces traumatismes.

(*) Cela tient d'une part à un manque de financement d'une telle démarche et d'autre part au manque de volonté des écoles de pratiques des fascias à rentrer dans le processus rigoureux aboutissant à une reconnaissance officielle de leur pratique, telle que l'ostéopathie ou même la réflexologie plantaire ont pu le faire.

 

 

 

Septembre 2023 : un article présumé de Maria de los Angeles Rodeiro. J'écris "présumé" car je n'ai pas trouvé sur Internet d'information sur l'auteure, présentée comme femme médecin. Impossible d'identifier son lieu de résidence ni une date de publication... Pour autant, le texte me parait très intéressant, pointant la difficulté en chacun de nous de renoncer pour les uns à son passé, pour d'autres à sa position de victime.

"Pourquoi les gens ne guérissent pas ? Parce que la guérison est très désagréable !
Les obstacles à la guérison comprennent le fait d’abandonner de vivre dans le passé, de cesser d’être une victime et la peur du changement.
Diriger notre pensée et notre énergie sur notre passé se fait au détriment de nos cellules et de nos organes qui ont besoin d’énergie pour fonctionner et guérir.
La guérison exige de vivre dans le présent et de récupérer l’énergie piégée dans nos traumatismes et dans nos blessures.
La seule raison de nourrir et de garder le passé vivant, c’est l’amertume de ce qui s’est passé.
Refuser de pardonner à un évènement ou à une personne du passé produit des fuites d’énergie. Le pardon guérit les fuites.
Le pardon n’a rien à voir avec le fait de ne pas responsabiliser les autres pour les blessures qu’ils ont causées.
Quand nous arrivons à voir un évènement douloureux de notre vie comme un message ou un défi plutôt que comme une trahison personnelle, l’énergie de vie liée à cet évènement reflue vers les circuits énergétiques de notre corps physique.
Les gens ne guérissent pas parce qu’ils ne se sont pas libérés de l’illusion d’être une victime.
La guérison exige souvent des changements de mode de vie, d’environnement et de relations.
En cela, le changement peut être effrayant !
Il est facile de rester dans un circuit d’attente, en affirmant que l’on ne sait pas quoi faire, alors que c’est rarement vrai.
En fait, lorsque nous restons dans un circuit d’attente et que nous savons exactement ce qu’il faut faire, c’est que nous sommes terrifiés par le fait d’agir en conséquence.
Le changement est effrayant, et le temps d’attente donne un sentiment de sécurité, alors que la seule façon d’acquérir véritablement ce sentiment de sécurité est d’entrer dans le tourbillon des changements et de se sentir vivant à nouveau.
La guérison nécessite des actions: manger correctement, l’exercice quotidien, penser autrement, … qui produisent des changements sains dans le physique.
Relâcher le passé, laisser tomber les emplois stressants ou les relations inappropriées sont des actions qui libèrent l’énergie du corps.
Ce qui améliore l’une améliore l’autre, la puissance physique et l’Énergie sont intimement liées."

 

 

 

 

Avril 2023 : Un article de Stephan Schillinger, tellement juste, sur nos propres ombres et les richesses qu'elles peuvent contenir.

"Il existe, à partir d'un certain état de présence, un degré de perception de la réalité qui permet la dissolution des pires souffrances. C'est là que réside une poche de joie, pulsatile, qui ne cesse jamais d'exister.
La rencontrer ne nécessite aucune formation, ni lecture, aucun enseignement secret, ni diplôme, simplement le désir profond de regarder en soi en délaissant les filtres et lunettes déformantes que sont nos blessures. Bien sûr cela demande un certain « travail ». Cela nécessite de descendre dans notre cave, métaphore de l'inconscient.
Descendre les premières marches nous apprendra d'abord que la lumière est éteinte, et que malgré notre frénésie à actionner l'interrupteur, l'ampoule est vraisemblablement grillée. Quelques marches plus bas, nous découvrirons qu'il y a probablement eu une inondation, et que ces innombrables cartons entreposés là depuis notre enfance sont entrain de pourrir.
Là, nous commençons déjà à vouloir nettoyer à tout prix, rapidement. Et c'est la dernière chose à faire.
Je t'invite à observer, et surtout ne rien faire. Dans cette obscurité totale et nauséabonde, je t'invite à ne pas céder à la volonté de trier, de gesticuler, de ranger hâtivement cet amoncellement désordonné.
La, justement, simplement, il faudrait s'asseoir, en plein milieu. Et allumer une bougie, déjà.
Commençons par une, une seule. Voilà... je te présente le moment présent. La conscience du moment présent brûle la souffrance.
Et peut-être pouvons-nous à présent, assis au milieu de la cave, observer la lumière se faire, au rythme du vacillement de la flamme de ta conscience. Te sentir respirer, consciemment, jusqu'à entendre ton propre souffle. Et peut-être que là, tu t'autoriseras enfin à entendre des pleurs provenant du fond de la cave. Ce sont les appels de détresse de cet enfant intérieur que nous avons, chacun, enfermé dans notre cave. Et nous passons notre vie d'adulte à danser à leur rythme, dans la plus totale inconscience.
Le rejoindre et le prendre dans les bras, nécessite beaucoup de présence, beaucoup de conscience, et une absence totale de jugement. Et tu te rendras compte que, s'il est facile d'être tendre avec les autres, être tendre avec toi-même nécessite beaucoup, beaucoup de courage. C'est ici la première porte à passer, qui mène vers cet endroit de joie. Elle est basse et étroite, et y passer nécessite l'abandon de beaucoup de bagages aussi inutiles qu'encombrants.
La traverser ne nécessite aucun effort, au contraire. C'est ta force, ta résistance et ta volonté de contrôle qui t'empêchera de la traverser. La traverser nécessite un effondrement, un abandon, une vulnérabilité souriante, une confiance dans ce qui nous porte depuis toujours. Une confiscation du
« Soi » par le « Cela ».
Et c'est là, seulement là, vous pourrez tous les deux commencer, lentement, très lentement, à ouvrir les cartons ensemble. Avec un sourire que plus rien n'éteindra jamais."
Stephan Schillinger
Extrait du livre « Par un Curieux Hasard » disponible sur curieuxhasard.com/boutique
Stages & Curieuses Journées : curieuxhasard.com/retraites


Mars 2023 : Je reçois souvent des sportifs très musclés avec parfois cet étrange paradoxe : ils n'ont pas de douleur spécifique mais observent une limitation dans tel ou tel mouvement. Sur table de soin, ils réalisent que leur corps et ses fascias révèlent de fortes tensions parfois très douloureuses. Un peu comme si, sous une armature de muscles, coexiste une vulnérabilité qui n'a pas été conscientisée. Le travail des fascias donne la parole à ses tissus profonds, il défait ses tensions et apporte une flexibilité, une fluidité et finalement une amplitude aux articulations concernées.

autres informations

Outils et pratiques également recommandés pour notre mieux-être.

Mieux se nourrir : Trouver une alimentation et un rythme de vie appropriés à notre corps, une dimension essentielle ou chacun(e) se doit d'essayer, tester, puis pratiquer ce qui lui convient le mieux. Une méthode très intéressante, mise au point par un fasciapulsologue de la première heure, Frank Laporte Adamski, recommande d'être très vigilent à ne pas mélanger en un même repas, selon sa grille de lecture, des aliments "rapides" et des aliments "lents". Sont considérés comme aliments rapides les fruits et les yaourts, certains légumes (dont la tomate, poivrons, potiron, melon, piment) et le miel ; sont considérés comme aliments tous les autres. Pourquoi ? Pour une question de vitesse de transit intestinal tout simplement. Les études scientifiques récentes confirment ces différences de transit, Frank a établi des principes alimentaires de bon sens, qui contribuent à une meilleure hygiène de vie.
https://www.adamski-method.net/fr/


 

Réalisation & référencement Simplébo   |   Site partenaire de Annuaire Thérapeutes

Connexion